Publié le 12 juillet 2024
La qualité des données se mesure à leur précision, leur complétude, leur cohérence et leur utilité. Elle est évaluée à l’aide de divers critères pour détecter les erreurs et incohérences et pour vérifier que les données répondent aux objectifs fixés.

Le maintien de la qualité des données nécessite un effort collectif. La DGEFP, la Caisse des Dépôts et les partenaires jouent un rôle essentiel dans son amélioration continue. Lorsque l’équipe AGORA identifie des anomalies affectant la qualité des données via des cas d’usage, elle collabore avec l’équipe MOA/MOE pour les analyser et définir des règles de gestion adaptés. Par ailleurs, lors des réunions mensuelles, ces anomalies sont signalées aux partenaires afin de mettre en place des actions correctives pour améliorer les données.

Faire de la qualité de données :… ce n’est pas juste corriger la donnée dégradée une fois rentrée dans le SI,
… mais c’est veiller à ce qu’elle n’y entre pas, qu’elle soit détectée et corrigée avant
… et s’assurer qu’elle ne reviendra plus.
Une mauvaise qualité de données peut avoir des conséquences significatives :
- Décisions erronées : Des données incorrectes peuvent mener à des décisions inappropriées ;
- Perte de confiance : Lorsque les utilisateurs rencontrent fréquemment des erreurs dans les données, ils perdent confiance en leur exactitude, ce qui peut nuire à la crédibilité et la réputation de la plateforme AGORA ;
- Coûts supplémentaires : Corriger les erreurs de données peut être coûteux en terme de temps et de ressources, nécessitant souvent des efforts supplémentaires de nettoyage et de maintenance.
Les efforts de chacun ont permis d’atteindre des taux élevés en terme de qualité de données pour certains indicateurs clés de la plateforme AGORA.
Chaque effort que nous faisons nous rapproche un peu plus de nos objectifs communs.